Lydia Valentín, triple médaillée olympique d’haltérophilie :
« Qu’ont en commun un agriculteur et un sportif de haut niveau ? ».
La multinationale Symborg renforce son rôle de producteur de solutions biotechnologiques avec l’ouverture de sa nouvelle usine et le lancement de Balius, son nouveau biostimulant à base d’acides aminés. Balius est composé d’α-kératine pure, il est 100% durable et compatible avec tous les types d’agriculture, conventionnelle et biologique.
L’événement de lancement, qui s’est déroulé sous format numérique le 25 mars, portait sur la question « Qu’ont en commun un agriculteur et un sportif de haut niveau ? ». Avec pour répondre à cette question, Lydia Valentin, triple médaillée olympique d’haltérophilie, championne du monde, d’Europe et d’Espagne. L’athlète espagnole a participé à l’événement, déclarant : “ce que les athlètes de haut niveau et les agriculteurs ont en commun est la persévérance, le dévouement et le dépassement de soi. Un trophée peut être une médaille, comme une bonne récolte. Mais, en fin de compte, la vraie récompense est de se sentir fier de ce que l’on fait”.
De même, selon Lydia Valentin, “La vraie vie, c’est le quotidien, la sueur, se lever tôt, aller toujours de l’avant malgré la fatigue. C’est ce dévouement qui fait la différence. Nous, les athlètes, l’avons tout comme les agriculteurs. »
Les participants ont pu effectuer une visite virtuelle de la nouvelle usine d’hydrolyse de Symborg, conçue pour la production de produits durables pour l’agriculture, tels que les biofertilisants, les biostimulants et le bio-contrôle. Le premier produit qui sortira de cette usine est Balius, α-kératine pure directement assimilable par les plantes et qui va permettre d’apporter un boost d’énergie pour accompagner la croissance des cultures ou faire redémarrer leur développement en cas de stress.
“Balius est une nouvelle source d’énergie pour libérer le potentiel des cultures, par exemple, dans les moments de demande nutritionnelle forte ou pendant les périodes de stress abiotique de la culture.” déclare Jesús Juárez, co-fondateur et CEO de Symborg.
Le biostimulant Balius apporte aux cultures un regain d’énergie d’absorption immédiate et à effet prolongé grâce à un juste équilibre d’acides aminés libres et de peptides à chaîne courte et longue. Ce qui contribue à une plus grande stimulation des processus physiologiques et cellulaires de la plante, ainsi qu’à une nutrition plus équilibrée. En conséquence, cette nouvelle solution augmente la production de fruits grâce à une meilleure germination, floraison et nouaison. Ce biostimulant rend également la culture plus résistante aux conditions de stress, augmentant sa résistance face à des conditions défavorables telles que les températures élevées, le gel, la sécheresse, la saturation en eau, la salinité, les transplantations, le tallage ou les déséquilibres osmotiques.
Grâce à son procédé de fabrication exclusif, basé sur une double hydrolyse biologique, Balius est un produit complet sur le plan nutritionnel, une source d’azote organique, une solution stable, homogène et exempt d’impuretés.
« Nous mettons l’accent sur le caractère stable, homogène et complet de ce produit, car ce sont de grandes valeurs ajoutées pour l’agriculteur, qui ne sont pas faciles à trouver dans les produits d’hydrolyse », souligne Jesús Juarez.
La nouvelle usine d’hydrolyse de Symborg s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire, zéro déchet et d’efficacité énergétique
L’usine de Symborg est située à Alhama de Murcia (Région de Murcia, Espagne) sur un site industriel de 40 000 m2 avec un investissement total qui atteint les 28 millions d’euros. L’usine d’hydrolyse a été conçue dans le cadre d’une économie circulaire, de mesures zéro déchet et d’efficacité énergétique, qui permettront d’éviter l’émission d’environ 100 tonnes de CO2 dans l’atmosphère par an.
« La nouvelle usine nous permet d’atteindre le modèle 360 que nous avons toujours recherché. Le but de Symborg est d’aider à la transformation du modèle agronomique actuel. Nous sommes nés pour être innovants dans une démarche durable. Grâce à ce nouvel investissement, nous pouvons appliquer ces principes également dans la production », conclut Jesús Juárez.